sayuri kim

Introducing me Nom: VINHEIRO Prénoms: Loukas Ming Date de naissance: 22 novembre 1986 Lieu de naissance: Santa Luzia, Pico, Îles des Acores Âge: 23 ans Métier/Activité principale: Gigolo État civil: Célibataire Péché qui vous représente: La colère Célébrité de votre avatar: Jeong Ji Hoon Introducing me and my computer Prénom/Pseudo: Sayuri Kim Âge: ... Comment avez-vous découvert le forum ? Par un des membres du staff sur PRD Vous le trouvez comment ? Bon contexte, joli design, codage CSS très agréable. Fréquence de connexion: 5/7 Niveau d'anglais (à votre avis): Très bon Avez vous lu le règlement ?: Code ok by Nolan Un autre commentaire à ajouter ? Beu :p

My look, my style ETHNICITE Qui pourrait mettre en doute les origines de Loukas, bien évidemment il est très loin d'être portugais comme le sont "ses parents". Première chose qui saute aux yeux, ce sont ses yeux finement bridés et d'un noir profond qui le rendent énigmatique. Viens ensuite des cheveux couleur ébène que Loukas aime porter généralement longs ... si il a peur que les traits fins qui définissent souvent les asiatiques laissent penser aux autres qu'il est une femme ? Sans aucun prétexte que non, aussi long peuvent être ses cheveux qu'il sera difficile de penser de lui qu'il est une demoiselle. Pourquoi ? CORPULENCE Donc oui pourquoi ? Tout simplement parce que la masse musculaire que possède Loukas érige ne peut influencer les gens de ce sens là. Bien sur, elle n'est pas digne d'un bodybuilder mais ne laisse que rarement indifférente les femmes qui ont la chance de pouvoir la contempler. Cela ne fait pas de lui quelqu'un de corpulence lourde et garde donc une certaine finesse qui s'accorde avec sa taille plus que respectable pour un homme d'origine chinoise avec son mètre 84. STYLE Loukas n'a pas de style véritablement défini, et pour être honnête, on pourrait presque dire que qu'importe ce qu'il pourrait porter cela lui irait forcément bien. Mais généralement, on pourrait catégoriser cela comme étant plutôt décontracte, Loukas ne se casse pas réellement la tête à chercher des vêtements qui le mettront forcément en valeur. Bien sur cette anecdote ne fonctionne que dans les milieux en dehors de celui de son travail, au sein de celui ci, il se doit de faire des efforts et s'orne principalement de vêtements classes qui le rendent terriblement sexy.

Who I am ÉNIGMATIQUE Si son regard peut créer à lui même cette particularité, son comportement le peut également. Loukas est un homme qui éveille les curiosités, il ne parle que très peu de lui même, préférant faire planer le mystère sur ce qui constitue sa personne. Il parait que les femmes aiment cela, alors pourquoi ne peut pas en profiter. SÉDUCTEUR Parce qu'il est pourvu d'un physique qui peut le lui permettre, Loukas est un séducteur dans l'âme, il aime attirer les convoitises des femmes et la jalousie des hommes. De part son métier, il a su apprendre ses proies et devient dans ce sens, au fil des années, un prédateur redoutable. IMPULSIF C'est surement la part de son caractère qui ressort le plus. Loukas possède un fort caractère et ne se prive pas de le montrer ouvertement, il est très loin de se laisser importuné sans réagir et agit même souvent de façon excessive. Très impulsif, il saute sur les gens à la moindre petite attaque personnel, peut en devenir agressif si son assayant persiste voir violent quand cela dépasse les bornes ... ou n'attends parfois même pas ce degrés. BAD BOY Rebelle dans l'âme, Loukas n'a jamais vraiment agi comme un mouton de la société, toujours à vouloir suivre ses propres règles. Adepte des soirées légères ou lourdes, cela dépend du point de vue, il est un gros consommateur d'alcool et de tabac, voir même à certaines occasions des produits illicites. SPORTIF Son corps, il ne l'a pas hérité du sain esprit, il a travaillé dur pour en arriver là. Cela pourrait faire particulièrement cliché, mais Loukas est un pratiquant d'arts martiaux, essentiellement du kung fu mais également du viet vo dao et maitrise pas mal d'arme (cela pourrait paraitre dangereux quand on connait son coté impulsif)

The story of my life, the lies I've created

Au fin fond de ma mémoire

Les premiers souvenirs qui me viennent en mémoire sont ceux d'un univers idyllique au sein d'une famille aimante et comblée. J'ai tout de même su très jeune que ma mémoire me faisait défaut, cette île sur laquelle je vivais, ne m'avait pas vu voir la lumière du jour pour la première fois, il semblait donc qu'une barrière s'était forgée afin de me faire oublier les souvenirs antérieurs à mon arrivée sur les îles des Acores. Beaucoup me dise que l'âge est la principal des raisons, il est rare de se remémorer des faits antérieurs à ses 1 an, mais je reste pourtant persuadé qu'il aurait pu être possible d'en garder au moins quelques brides, ce qui ne fut nullement mon cas. Même si je compris jeune que Fabio et Ofelia Vinheiro n'était pas ceux qui m'avaient conçus, je les ai tenus informé de cette révélation qu'à l'âge de 9 ans, surement parce que je craignais de leur de faire de la peine, ou d'émettre en eux la crainte que je puisse les détester de ne pas être mes géniteurs. Ce ne fut nullement le cas, même après mon entrée à l'école où je pus commencer à connaitre le dédain des autres et surtout l'affirmation (même si j'en avais nullement besoin) de ma différence ethnique. Évidemment, il est dur de faire parti d'une minorité dans un espace aussi restreint qu'une île perdue au milieu de l'océan Atlantique, les railleries peuvent devenir pesante et parfois même nuire au bon moral, mais malheureusement, on se doit de vivre avec, on a nullement d'autres choix. Je pense que ce fut vers l'âge de 11 ans que l'envie de connaitre mes origines fit son apparition, mes parents ne furent pas choqués et travaillés même depuis quelques années sur quoi me dire quand le moment serait arrivé. J'eus la chance de ne pas être né sous X, le nom de ma mère, ma génitrice, se trouvait dans mon dossier d'inscription, je pus même voir une photo d'elle, mais pour ce qui concernant mon géniteur, aucune information n'était notifiée.
L'adolescence est une période bien particulière, certain doux et jeunes enfants se voient rester inchangés alors que d'autre se transforme, acquérant une personnalité parfois à l'opposé de ce qu'il était. Malheureusement pour mes parents, je fus atteint de l'adolescence perturbatrice, les raisons m'échappent toujours, mais je sentais sans cesse au fond de moi une solitude qui me pesait. Le manque d'ami n'y était pour rien, du moins je le pense et certainement pas le manque d'amour et d'affection que mes parents auraient omis de me donner. Ce fut une période très étrange, d'un petit garçon plein de vie, curieux et cherchant sans cesse à faire parti d'un groupe, je devins un jeun homme solitaire, énigmatique et particulièrement teigneux. Vers l'âge de 16 ans, mes parents jugèrent que c'était probablement le fait de ne pas avoir remplis ma curiosité sur mes origines, et décidèrent donc de faire un voyage en Chine. Mon premier voyage fut surement l'un des plus marquant, j'allais dans le pays qui m'avait vu naitre et surtout dans lequel se trouvait ceux qui m'avait conçu, je n'ai jamais su pourquoi je ressentais autant cette envie de tout savoir, ma vie me plaisait comme elle était, à moins que cette solitude provenait de ce manque d'informations.

A la recherche de soi même

Ce fut donc durant la période d'été de l'année 2002 que je posa le pied dans cette contrée inconnue qui pourtant était mienne. La Chine ou plus précisément Shanghai, était une ville magnifique, toutes ses lumières, ses buildings que je n'avais pu voir alors qu'à la télé, se trouvaient face à moi, me rendant terriblement minuscule. On remarqua très vite mes parents et moi, que naviguer dans ce pays n'allait pas être aussi simple que prévu, notre niveau d'anglais aussi peu parfait soit il n'était d'aucune utilité, les chinois ne parlant apparemment que le chinois. Ce fut d'ailleurs frustrant pour moi car cette langue de tons m'avait irrémédiablement séduit.
On avait un nom mais comment tomber sur cette personne exactement quand on se trouve dans une ville de 13 831 900 habitants. Ce fut l'orphelinat dans lequel je fus placé quelques jours après ma naissance qui put fortement nous aidé, ils nous communiquèrent une adresse sur laquelle on se rendit dès le lendemain. Je me souviens que mon cœur battait la chamade et que pour cette première rencontre, je demanda à mes parents de me laisser voir ma génitrice seul, même au risque qu'elle se passe mal, ce qui ne fut absolument pas le cas. Ma "mère" et moi décidions de rester en contact et me répondit enfin aux questions que je me posais sur mon paternel. Je n'étais tout simplement pas désiré, mon père étant un homme de la pègre qui abusa de ma mère, elle s'excusa de m'avoir abandonné mais me demanda de comprendre sa situation. Ce pays me plaisait de plus en plus que je força mes parents a y rester plus que le temps qu'il était prévu, d'ailleurs au terme de cette rallonge, je décida de rester dans cette ville pour y terminer mes études. Mes parents ne pouvaient se permettre de quitter les Acores du jour au lendemain, alors je restai donc seul malgré mon jeune âge et l'inquiétude de mes parents. Je fus accueillis dans un internat, je pus terminer mes études de second cycle, c'est d'ailleurs durant cette année que je commença mes premiers cours de kung fu, sport typiquement chinois et très cliché mais qui me fut comme radicalement destiné. D'ailleurs, mon apprentissage de la langue fut rapide, j'étais parfaitement bilingue avant mon entrée à l'Université. Je rentra dans le département sport, afin de devenir peut être professeur, le sport était devenu ma raison de vivre, et m'aida beaucoup auprès de la gente féminine qui fantasmait sur le corps que j'avais réussi à me sculpter. Je devins d'ailleurs un véritable don juan, collectionnant les conquêtes que je n'hésitais pas à jeter après avoir obtenu ce que je désirais, je semblais alors devenir totalement insensible à la souffrance que je pouvais leur créer. Je finis mon cycle universitaire à l'âge de 21 ans et même si je m'étais totalement intégré à la Chine, je décida tout de même de retourner aux Acores.

L'offreur de rose

A mon retour sur les îles des Acores, j'avais quelque peu le cœur serré d'avoir quitté la Chine, mais ma vrai famille se trouvait ici, celle qui m'a aimé et élevé. Ce qui me perturba le plus fut surement le regard des autres, il avait changé, je n'attirais pas ces remarques désobligeantes sur ma différence, tous semblait impressionné de ce que j'étais devenu, peut être que le fait de m'avoir trouvé moi-même, permettait de me montrer réellement aux autres. La question que je posais maintenant était ce que j'allais faire de mon avenir ici, j'avais dans mes mains un diplôme me permettant d'enseigner le sport, c'est pour cela que j'entrepris de me trouver un bon emploi. Sur l'île se trouvait un somptueux hôtel qui ramenant des touristes à la pelle, j'entrepris de postuler pour être professeur de leur gymnase mais apparemment on me voyait plus dans un autre domaine, domaine qui d'ailleurs m'étonna fortement. Le charger de recrutement voulu m'orienter sur le métier de gigolo pour la Taverne, me vantant mon physique et mes airs mystérieux qui feraient tomber les femmes comme des mouches. Gigolo, ma foi, je me dis pourquoi pas, être payé pour séduire des femmes, qui allait refuser cela.

C. Carter Julians a écrit:

Enfin un autre colérique