« Si les contraires s’attirent, les similaires se rassemblent et c'est explosif ! » C'est samedi soir, et je me prépare a sortir, ma première sortie dans la fameuse discothèque « Diamond Night ». Je suis arrivée sur cette île paradisiaque depuis une semaine a peine et j’ai déjà fait quelques jolies petites rencontre, ou plutôt un jolie rencontre, un jeune homme du nom de Zeke, rencontrer a la plage. Il est beau comme un dieu, mais étrangement, il ne s’est encore rien passer entre nous. Seul le temps nous dira ce vers quoi cette rencontre va converger.
Me voila donc sur cette île magnifique, dans une des plus belle suite de cet hôtel luxueux, tentant de fuir mon passer si mouvementé. Je m’étais bien vider la tête, avait profiter pour me couper de tout ce qui me lie aux Etats Unis, tout ce qui me lie a ma vie de tout les jours. J’étais ici pour profiter, me vider la tête et tout oublier. Ces derniers jours, je n’avais pas réellement essayer de faire de nouvelle rencontres car je savais qu’il me restais du temps pour cela. J’étais juste rester a profiter des bienfaits du SPA, de la piscine chauffée, des plages magnifique, bref de la belle vie. Si ont me parlait de Matt au jour d’aujourd’hui, vous savez ce que je répondrais ? « Matt qui ? ». La page était tournée maintenant, je pouvais vivre la vie que je voulais maintenant.
Je m’étais réveillée ce matin là avec l’envie de faire de nouvelles connaissances, ce qui ne m’était pas arriver depuis un certain temps. Je me dis alors qu’une petite sortie dans le club dont on m’avait tant parler depuis mon arrivée s’imposait, et pour cela il fallait se préparer. Il ne s’agissait pas seulement d’enfiler sa tenue 30 minutes avant le départ, non, s’était tout un rituel : il me fallait tout d’abord aller faire les magasins histoire d’avoir au moins une chose nouvelle et différente sur moi a chacune de mes sortie, puis je me rendais dans un SPA qui faisait par la même occasion centre esthétique afin de me faire dorloter, puis après un petit détour par mon coiffeur habituel, j’étais a peu près prête pour la soirée. Ici, il fallait donc que je trouve un moyen de trouver l’équivalent de mes petites habitudes. Je me rends donc au centre commercial et écume rapidement les magasins qui s’y trouvaient. Je savais parfaitement ce que je voulais, je n’y perdrais donc pas beaucoup de temps…Enfin tout est relatif. Je ressors du centre commercial a midi affamée, mais satisfaite. Après avoir déjeuner dans le restaurant italien de mon nouvel ami Zeke, je repart pour les centres de bien être de l’hôtel. S’était un réel plaisir de se faire chouchouter ainsi. Il est alors 17 heures quand je rejoins ma chambre. J’entreprends alors de faire une petite sieste, car si je souhaitais faire la fête jusqu’au bout de la nuit, dormir un peu avant était nécessaire. 4 heures plus tard, je me réveille en pleine forme pour la soirée de folie qui m’attendait.
Après une douche prise rapidement, j’entreprends alors la phase maquillage, une des plus longue de ma préparation. Eye Line, ombre a paupière, mascara et autre fard a joue appliqué, il est déjà 21h45. Il faut que je me dépêche ! J’enfile alors ma tenue du soir, une magnifique robe de couturier acheter a San Francisco, blanche avec des ronds noirs de différente taille un peu partout. Elle était assez courte, mais le tissu étant rigide, cela ne poserait pas de problème. Une ceinture noire large et brillante marquais ma taille.
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C'est alors que je sors ma trouvaille de la matinée : une magnifique paire d’escarpin de chez Christian Louboutin. Elles étaient tout simplement somptueuses, de pures merveilles, d’environs 10 centimètres, apportant un galbe sexy a mes jambes fines de danseuse. Je parfais un peu le brushing fait un peu plus tôt et arrange bien ma frange, qui, ayant un peu poussée arrivais juste a la limite de mon regard charbonneux, ce qui me donnait un air mystérieux. Pour finir, je place mon blackberry, quelques éléments de maquillage, ma carte bleue et un petit flacon de solution hydro alcoolique ( non non ce n’était pas une crise de paranoïa du a la grippe A, mais juste une question d’hygiène ) dans une petite pochette en satin blanche. Un dernier coup d’œil dans la glace : j’étais parfaite. Je quitte alors ma chambre, puis l’enceinte de l’hotel, puis me dirige vers l’établissement qui n’était pas très éloigné de là. Heureusement que j’avais pour habitude de marcher avec des talons, sinon je risquais de ruiner mes magnifique escarpins.
Arrivé devant le club, j’entreprends de faire la queue comme tout le monde car je n’étais pas une habituée ici. Alors que je patiente, pianotant des messages adressés a mes amie de Sacramento pour les narguée un peu, sur mon téléphone, j’entends le videur s’adresser a moi en ces termes : « Vous, la jolie jeune femme concentrée sur son téléphone, vous pouvez y aller ». Je ne réagit pas tout de suite pensant qu’il ne s’adressait pas a moi. C'est alors qu’une fille derrière moi sans doute un peu aigrie de ce qu’il venait de me dire, me donne un petit coup pour me faire réagir. Je sors alors de ma concentration, puis voyant le regard insistant du videur et des personnes aux alentours posé sur moi, j’en déduis que ses paroles étaient pour moi. Je m’avance donc vers l’entrée après l’avoir remercier, puis pénètre dans le club si prisé.
La décoration y était sophistiquée, et la musique paraissait plutôt bonne. Cependant, il fallait encore que je jauge l’ambiance qu’il y avait ce soir. Je m’installe donc au bar quelques instants, afin de boire un petit verre en examinant les personnes sur la piste de danse. Après mon premier Cosmopolitan, je décide de me lancer sur la piste. Après avoir fait les yeux doux au barman, je lui demande de bien vouloir me garder mon sac, ce qu’il fait sans broncher, puis je m’avance sur la piste, sur laquelle je me déhanche en rythme, sourire aux lèvres. Danser était un réel plaisir pour moi. J’aurais pu en faire mon métier mais…Non. J’avais mon entreprise de marketing ce qui était une filière plus sure. Mais je n’avais pas arrêter la danse pour autant. Alors que je me déhanche, attirant quelques regards inquisiteurs sur moi et sur ma présence ici, il me semble sentir derrière moi un regard beaucoup plus insistant que les autres. Je me retourne alors discrètement, mais ne vois qu’une ombre près du bar, un verre a la main. Aves les éclairages du club, j’étais incapable d’en voir plus. Je me retourne donc, et reprends ma petite danse avec les charmants jeunes hommes qui m’environnaient petit a petit…